
Tiraillé entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, le grandiose et le banal, l’auteur entraine l’auditeur dans une composition mystérieuse, spatiale… Au piano – base limpide –, s’ajoutent instruments électroniques et orchestraux, et la voix, grave, pose sa ligne claire sur ces mélodies généreuses. Une le marché des changes progression crescendo qui nous jette dans un kaléidoscope d’ambiances. Façon cinématographe. On pense à Sébastien Tellier, Daho, Jean-Michel Jarre… non, il est autre, unique, il vient d’ailleurs… vous allez découvrir Octave Noire.